Confiance en l’appartenance
C’est le fait de se détendre, de s’abandonner à l’Êtreté, qui fait s’élever en nous la contemplation.
C’est par un abandon que nous laissons le personnage ainsi que toute tension du devenir. Grâce à cette libération resurgit la perfection de l’Être.
Il y a contemplation, non pas du fait d’une “obtention”, d’un effort et d’un maintien particuliers, mais un relâchement confiant et complet, qui nous révèle la plénitude de l’être et du divin dont nous sommes issus.