Foi en l’immuabilité de l’Être
Celui qui se voit flotter naturellement sur l’eau n’a pas besoin de nager. Celui qui ne se voit pas ainsi, doit nager. Sinon, il coule.
Celui qui se voit immobile, malgré les changements, n’a pas besoin de “rester” ni de se “laisser être”. Celui qui ne se voit pas ainsi, s’emploie à demeurer. Sinon, il sombre dans sa pensée.
Contempler vient de voir, d’apprécier la continuité de son immobilité fondamentale. Sinon, nous “pratiquons”, nous nous employons à “rester immobiles” dans la parfaite Immobilité.