La douce étreinte

C’est par le chérissement que l’on trouve et que l’on ouvre son cœur.
“Chérir”, c’est comme souffler sur un feu pour l’attiser. C’est comme pomper une source sous la terre pour qu’elle jaillisse à la surface.
Lorsque nous avons un cœur, nous avons son étreinte.

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