Le mur des apparences

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Nous sommes dans une ouverture que nous n’empruntons pas, dans un Ciel dont nous restons en retrait.
Nous rêvons de liberté, mais nos yeux ne regardent que l’aspect solide, que le contour délimité du monde.
Nous privilégions le “fini” et nous éludons l’infini, l’indéfini. Nous ne sommes pas dans un “Voir”.
Nous sommes dans une lecture et une écriture des apparences. Notre insatisfaction est le signal pour changer de référentiel.
N’essayez pas d’améliorer votre rêve, zappez-le ! Afin de vous relier au réel, à la Vue directe.
La soif est un appel à la Source et non celui à s’en éloigner davantage.

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