Le regard neuf
C’est à partir du “regard premier” ou initial que nous contemplons. Il est donc crucial de savoir le reconnaître et de l’autoriser en nous.
Ce regard est spontané, sans que l’on puisse l’altérer. Cependant, illusionnés, nous l’oublions, nous nous en détournons pour adopter une vision conceptuelle. Dès lors, nous ne voyons plus le monde comme avant, nous le pensons, nous le rêvons.
Le “regard premier” n’est pas à “faire”. Il est à retrouver. Il est à permettre. Pour cela, Il nous faut lui laisser la place et laisser choir la “mental-isation”, “l’idé-alisation”, “l’imag-ination”, tout ce par quoi nous nous projetons. La vue directe se renouvelle et s’accomplit d’elle-même.