Simplement s’arrêter !
La vérité étant une perfection, chez certains la question qui revient est “pourquoi y a-t-il quelque chose qui doit être fait pour se libérer ?”
Du point de vue de la nature absolue, il n’existe rien qui a besoin d’être accompli, rien à “parfaire”. Maintenant, si nous ne vivons pas dans l’évidence de cette perfection, cela signifie que nous sommes toujours pris dans une perception duelle et relative de la vérité.
Tant que nous croyons et assumons l’idée d’un dehors et d’un dedans, ce sont également les notions de perfection et d’imperfection que nous avalisons.
Aussi longtemps que nous nous impliquons dans un jeu et ses règles, qui nous confrontent aux enjeux de gain et de perte, nous conservons la nécessité relative d’y mettre un terme. Il n’y a rien à faire pour parfaire ce qui l’est déjà. Par contre, il nous revient de ne plus superposer les lois d’un jeu relatif, dans lequel nous engageons notre croyance et perpétuons l’illusion.