Rechercher de la vérité
Sommes-nous honnête avec nous-mêmes ? Quelle est donc encore l’histoire dans laquelle nous nous compromettons ? Comment ne voyons nous pas, que toute notre confusion n’est que le jeu de notre esprit ? Comment nous voyons nous pas que ce jeu s’auto libère en permanence ?
Les outils pour avancer
Parce que nous nous croyons séparés et éloignés de la Source, nous pensons que nous avons besoin d’outils et de moyens pour le rejoindre. À la première croyance d’être différent de la vérité, s’est ajoutée celle d’y revenir. Pour accomplir ce retour s’additionnent aussi les moyens que nous croyons nécessaires.
Franchir les obstacles
Sommes-nous honnête avec nous-mêmes ? Quelle est donc encore l’histoire dans laquelle nous nous compromettons ? Comment ne voyons nous pas, que toute notre confusion n’est que le jeu de notre esprit ? Comment nous voyons nous pas que ce jeu s’auto libère en permanence ?
La soif de la Source
Le divin, la Source originelle, réside en nous. Alors, pourquoi la chercher ailleurs, dans un autre lieu, dans un autre temps ? Pourquoi tenter de la gagner, de la mériter, puisqu’elle est présente partout et en chacun ? Puisqu’elle seule règne en totalité sur l’univers ?
La vérité n’est pas l’idée que l’on s’en fait. Aussi, pour commencer, nous devrions lâcher notre vision subjective pour voir et connaître enfin le monde tel qu’il est.
Suivre un chemin
Nous voyant séparés de la Source, nous avons l’idée d’un chemin pour y revenir. Aussi, nous le concevons de façon progressive, avec des étapes. Cependant, la vérité absolue n’a pas les contingences du monde physique. Elle n’a pas de localisation, puisqu’elle englobe tout. Et si nous étions arrivés avant de partir ?
Le chercheur
Le chercheur espère trouver la vérité qui va l’éclairer. Il s’imagine qu’ainsi elle va s’ajouter à lui. Il ne se figure pas qu’il est lui-même celle-ci. Que celui-là qui cherche en lui, c’est son personnage. Celui qu’il croit être. La vérité, c’est lui-même qui a décidé de s’en cacher, pour être un autre lui-même. Mais il y a bien longtemps, et il ne s’en souvient plus.
Lumière de la conscience
De vivre dans notre imaginaire, dans notre interprétation de la vérité, nous a affaiblis. Nous consommons les fruits du rêve plutôt que ceux du réel. Nous ne recevons plus, ou peu, l’énergie de la Source qui, tel un soleil, nous procure sa lumière et sa chaleur. Comment parvenir à nous réveiller, à démasquer notre illusion, sans d’abord nous exposer à la lumière de la Présence et de la vérité ?
Le bagage
Parce que le chercheur n’est que l’idée de nous-mêmes, il se raconte une histoire pour se rendre crédible. Alors que tout ce que nous avons vécu a disparu, lui, maintient mentalement sa vie passée. Il porte en lui un récit, dont il attend un développement. Il se croit encombré d’événements de son passé et devoir regagner une meilleure version de lui-même.
Le Ciel absolu
La Nature absolue est comme le ciel omniprésent, qui contient tout. À son égale, elle demeure sans altération ni trace des changements d’état qui la traversent. Elle est l’infini, l’éternité que l’on peut voir avec nos yeux. Elle est à l’extérieur l’essence que nous sommes à l’intérieur. Parce que nous sommes matérialistes, nous saisissons et nous attachons aux objets. Qu’ils soient grossiers ou spirituels, nous les accumulons, car nous ne reconnaissons pas l’absolu de leur nature.
La base, le terrain
Terre et ciel sont un. Un ciel pour la terre et une terre pour le ciel. Depuis toujours, nous foulons le sol sacré. C’est en idée que nous pensons en être séparés, et aussi en idée que nous pensons le retrouver. La Présence, la proclamation de notre être est incessante. Elle est la continuité de tout ce que nous vivons, sans laquelle nous ne pourrions perdre ou gagner. Elle n’est pas un aspect de l’illusion. Elle est la base qui la sous-tend.
La quête spirituelle
Où nous situons-nous dans notre démarche spirituelle ? Le but de libration vers lequel nous tendons, peut-il vraiment être comparable à une pérégrination dans le monde réel ?
La dimension spirituelle n’hérite pas des contingences propres au monde relatif et matériel. D’ordinaire, nous planifions nos déplacement en terme de chemin, de départ et d’arrivée, de distance et de moyen nécessaires. Cependant, compte tenu du caractère absolu de notre destination, aucun des plans conçus pour notre vie relative n’est approprié pour l’atteindre.
Voici une représentation du “chemin” comme nous pourrions l’illustrer et l’imaginer. Ici, derrière les éléments clés qui composent la scène de ce tableau se trouve une autre lecture. Découvrez-la en cliquant sur les repères…