Couper, simplifier…
Si la vérité est accomplie, elle ne dépend pas d’un “faire”. C’est l’illusion de notre personnage qui en dépend. Mettre fin à ses “faires” est ce qui nous libère et nous révèle l’inutilité de tous nos “jeux”. Savoir cela, le comprendre intellectuellement, ne suffit pas pour mettre fin à cette nécessité de nous faire exister.
Lâcher, couper court dans toutes nos constructions, dans toutes nos saisies mentales, nous place directement ici, au cœur de l’évidence.