L’effacement du “personnage”
Nous rejoignons la contemplation lorsque nous sommes dans “ce qui reste”. Je veux parler de “cela qui Est”, de cela qui resplendit naturellement à travers notre Être, avant tout ce que nous ajoutons, projetons, depuis le personnage.
Simplement, nous nous retrouvons dans la nudité qui était masquée par le “costume” et par le “jeu”.
Aussi, nous ne pouvons pas nous gratifier de “ce qui reste” puisqu’il ne s’agit pas de notre création. Mais surtout, parce que c’est précisément l’absence d’un “créateur”, d’un “faiseur”, qui l’a révélé.