Game over
Celui ou celle qui reconnaît l’éclat de la parfaite Êtreté à l’origine de tous les “cinémas” ne croit plus en leur illusion. Il n’a plus besoin d’espérer ou de se défendre de ce qui n’est qu’une forme vide. A ses yeux, le monde des hommes avec toutes ses ambitions n’est plus la vérité, mais s’apparente à un “jeu”, une comédie, un simulacre dépourvu d’intérêt.
Tous les jeux, toutes les parties s’achèvent et, finalement, nous laissent à cela que nous sommes véritablement, sans rien n’y changer. En l’Êtreté, il n’y a ni gain, ni perte, ni le moindre enjeu. Ce n’est que la croyance que nous portons à soi-même et à ce monde, qui provoque des oppositions, inspire l’espoir et la crainte et génère des situations heureuses et malheureuses. En créant l’idée d’un gain, nous créons celle d’une perte ainsi que tous les stades intermédiaires.