La libération coiffe tous les “états”
Tant que nous n’assumons pas la Présence, la simple vérité à laquelle nous appartenons, c’est notre personnage que nous “servons”.
Le renoncement que nous avons fait concerne toujours la Présence, mais pas l’illusion envers laquelle nous restons fidèles.
Nous nous rassurons avec nos ressentis, nos “états inspirés”, mais ceux-ci n’attestent en rien de notre libération. Tout le monde y a accès. Ils ne sont qu’un parfum, qu’un saupoudrage, qui laisse croire à notre illusion qu’elle progresse et que “tout va bien”.