La prison du personnage
Au lieu de méditer ou de contempler et de rechercher une certaine “émotion spirituelle”, nous ferions mieux de nous concentrer sur nos points faibles.
Qu’avons-nous mis en œuvre, quels engagements avons-nous pris afin de nous défaire du personnage ? Si nous ne vivons pas la “vision pure”, si nous ne goûtons pas la “fraîcheur” du vivant à travers un renoncement au quotidien, c’est le statuquo. Encore, nous donnons le champ à la vision illusionnée.
Que faisons-nous, quels moyens, quel temps, quelle énergie consacrons-nous réellement pour changer, pour échapper à cette emprise ?