L’origine du “problème”
Lorsqu’il est dit qu’il n’y a “rien à faire”, souvent, cela est mal compris. On entend qu’il n’y a rien à appliquer, à pratiquer spirituellement. Curieusement, il n’est pas entendu que c’est de l’illusion dont il est question.
Nos pratiques spirituelles sont comme les soins et les médecines nécessaires à un hypocondriaque. Sa croyance principale est la “maladie”, le “mal” dont il s’imagine atteint. Le “remède” n’est qu’une croyance secondaire.
C’est notre pratique de l’illusion, son “jeu” qu’il s’agit d’arrêter, puisque c’est de lui que découlent tous nos “faires” et les croyances inutiles.