Rouvrir ce que nous gardons fermé
Vraiment, nous devrions arrêter les “onguents”, les pratiques “cosmétiques” dans lesquels nous nous complaisons. Le cocktail de concentration, de maintien, de bien-être… ne nous libèrera pas de l’illusion. Aussi, les critères du temps et des efforts investis ne produirons pas les effets escomptés s’ils ne sont pas appropriés.
Si nous ne prenons pas la bonne “médication”, nous ne pouvons pas guérir. Parfois même, le mal s’aggrave. Le plus souvent, “pratiquer” c’est seulement appuyer sur le bouton “pause”.
L’illusion est comme une “pathologie”, une “affection” qui nécessite un “traitement”. En nous, elle est active. Il est donc nécessaire de lui opposer une action résolue, qui l’affaiblit et qui la désamorce. Cette “action” doit être volontaire. Même si nous ne le reconnaissons pas, c’est par notre volonté que illusionnement se perpétue.