S’appuyer sur “vivant”
Si nous continuons la contemplation, c’est parce qu’elle n’est pas notre œuvre. En notre cœur, déjà la Source est présente et constante. Ce n’est pas grâce au calme mental ni aux théories comme la non-dualité que nous pourrons y accéder et nous ressourcer. C’est en l’ouvrant, en nous y reliant et en lui permettant de retrouver son “mouvement”.
L’Amour est la merveille de cette existence. Malheureusement, nous voulons croire qu’il est une chose niaise, qui soi-disant rend faible. Ne voyons-nous pas qu’il est le joyau du monde ? Il est le ferment, le vecteur irremplaçable de notre humanité. Aussi, quel éveil pouvons-nous espérer en conservant un cœur vide et atrophié ? Au lieu de développer une spiritualité passive sécrétée par le mental, c’est de réanimer notre cœur d’amour dont nous avons besoin.