L’absolu dans tout le relatif
Si l’on reprend la métaphore de la cocotte, nous comprenons que le papier, l’aspect absolu, est continuellement présent indépendamment des pliages et de la forme qu’on lui donne. Est-ce la forme qui peut le réaliser ? … La forme ne sait que rechercher d’autres formes.
Seul l’absolu connaît l’absolu. La nature originelle demeure première. Cette primauté est le référentiel libérateur que l’on adopte par la contemplation. Tant que nous sommes fidèles à notre nature absolue, nous pouvons emprunter toutes les formes, sans croire pour autant que nous les devenions. Ainsi, notre “Être” initial n’est pas masqué par le “faire”. S’illusionner, c’est s’identifier à nos “faires” et oublier “Celui-là” que nous sommes originellement.