La “liberté” du personnage
La question de “l’acceptation” n’est pas nouvelle. Déjà, elle nous accompagne depuis l’enfance. En y regardant bien, la plupart du temps, nous nous la posons pour des situations ou des événements déjà présents ou bien déjà passés. Pourtant, ce que nous avons à accepter est déjà en cours.
C’est comme si nous pensions pouvoir nous accorder encore une négociation ou un choix. Le fait de refuser ou d’accepter semble nous conférer une liberté. Cependant, que nous soyons pour ou contre, c’est déjà là.