Le mouvement dans l’Êtreté
Dans la contemplation, nous ne nous asseyons pas pour atteindre un but. Nous demeurons tranquillement parce que nous appartenons déjà à celui-ci, parce que toute idée d’un ailleurs, d’un retour, d’un dehors, d’un dedans, ainsi que les notions de revenir, de trouver et de rester ne concernent pas le domaine de l’Être. Tout cela relève seulement de celui de la pensée.