Lorsque le grain meurt
Renait, qui sait mourir à lui-même. Par-delà nos états relatifs, nous trouvons le divin, la Source absolue. C’est en cela que notre libération ne dépend pas d’un gain, d’un ajout, mais du fait de perdre, d’abandonner la saisie des formes relatives.
Parce que nous-mêmes sommes une forme relative, nous sommes une expression de la Source. Nous n’avons pas à le devenir. Nous avons à le réaliser à travers l’épuisement inévitable de toute chose. Celui-là qui demeure, qui triomphe de toute mort, c’est la Présence, notre Être absolu.