Lumière des cinémas

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Afin que la contemplation s’actualise, il nous faut en quelque sorte décrocher du mental. Il nous incombe de lâcher la relation “névrotique” que nous entretenons avec le miroir de l’esprit. Connaître toutes ces choses au sujet de la duplicité avec le mental ne permet pas de lui échapper. Nous ne faisons que remplacer une théorie par une nouvelle, un “film” par un nouveau, restant toujours prisonniers de notre cinéma.
C’est grâce à la lumière du projecteur que les images sont projetées sur l’écran. Chacune de nos pensées prend sa source dans l’éclat de la Nature absolue. Là où il y a le jeu des ombres et celui des reflets se trouve également l’éclat du soleil. Tout se trouve au même endroit, au même instant.
Maintenant, que décidons-nous de regarder ? Vers quoi nous tournons-nous ?

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