Nulle part où aller
Lorsque nous renonçons aux histoires de l’illusion, nous sommes ici présents naturellement, sans effort, sans concentration ni la nécessité d’un maintien. L’Êtreté a toujours été présente. C’est notre besoin compulsif de “partir”, de nous “agiter” pour nous faire “exister” qui nous en prive.
Le renoncement à l’illusion n’est vraiment possible que si nous en réalisons la vanité. Au lieu de représenter un apport, en fait, elle est ce qui nous spolie de la perfection de l’Êtreté.