Où sont nos chaînes ?
Nous restons en recherche parce que nous sommes prisonniers de notre croyance. Nous sommes captifs d’une chose qui n’existe pas, mais dont nous nous persuadons. Pourquoi faisons-nous cela ?
Ce qui existe, nous le voyons, nous le touchons. Nous n’avons nul besoin d’y croire. Pourquoi rendons-nous réel, ce qui ne l’est pas, et voulons-nous, ensuite, nous en libérer ? À quoi peut bien nous servir notre croyance ?
En général, une chose qui nous encombre, nous la jetons ! Mais ici ce qui est irréel parvient à nous retenir sans que nous réussissions à nous en débarrasser !? Ce qui n’existe pas n’existe pas et, en aucune façon, n’exige que nous en fassions quoi que ce soit.