Pas de “second”, pas de jeu
La paix vient de nous “déplier”, de ne plus opposer un aspect de Soi, contre un autre, de ne plus projeter nos pensées l’une contre l’autre.
En nous, il n’existe pas deux camps. C’est seulement l’ombre d’un jugement qui nous laisse croire en un “second”, en un adversaire et une division. En soi, nous sommes uniques, sans le moindre opposé, le moindre concurrent avec qui nous aurions des maux, des litiges, des comptes à régler.
Pour nous, il s’agit de nous déplier dans l’Ouverture. Il s’agit de reconnaitre notre unicité. Choisissez de ne plus vous imposer un “second” et la virtualité attractive du jeu duel qui vous appartient.