Ce qui reste…
Notre simplicité c’est notre Êtreté. Dans le simple fait d’Être, il ne manque rien. Au contraire, nous vivons ce que nous sommes réellement au lieu de paraître ce que nous ne sommes pas, au lieu de nous efforcer d’être “différents”, d’être “spéciaux”.
Tous nos jeux, tous nos “faires” s’épuisent de toute façon. Que nous renoncions ou pas à l’illusion du personnage, celle-ci nous abandonne quoiqu’il en soit.