La contemplation n’est pas un état
Si nous n’étions pas “amalgamés” avec nos pensées et nos émotions, naturellement nous vivrions la contemplation. Continuellement, derrière nos pensées, nos états successifs, la contemplation demeure et s’actualise.
Pour nous, il n’est pas question de la “faire”, d’y parvenir ou pas. Il s’agit simplement de l’accueillir comme notre base immuable et fondamentale. Sans elle, rien de ce que nous pensons, disons, faisons, ne serait possible.