“Cela” qui nous porte
Par un simple relâchement, nous laissons la saisie mentale et arrivons ici, dans le monde réel. Au lieu de vouloir “comprendre” le monde, nous devrions y prendre place et vivre notre lien d’appartenance avec lui.
A travers les histoires et les pensées, nous croyons vivre un éloignement, une coupure, mais il n’en est rien. Le monde évanescent des pensées et des émotions n’a pas le pouvoir d’affecter l’Êtreté.
En nous, à travers nous, la “proclamation” est incessante. Elle demeure première. Elle est la force de vie qui nous érige, qui nous emplit.