Soif de beauté
Le contemplatif n’est pas un “pratiquant”. Il est plutôt comme un chasseur, un cueilleur de grâce.
Aussi, il se tient à l’affût. Autant qu’il peut, en lui, il cultive l’ouverture, l’inspiration, la douceur du cœur.
Il s’emploie à déjouer ses mécanismes d’enfermement et la saisie que provoque la dualité. Il recherche le dénuement ainsi que l’immersion dans le “live”. Sa place il la trouve dans “l’ombre de Dieu”.