Se distinguer, se différencier du jeu et du personnage est ce qui permet la contemplation.
Débrancher le projecteur, stopper le manège à idées, ce n’est pas vraiment nécessaire. C’est nous, en l’Être, qui sommes essentiels et importants, pas le bazar mental que nous traînons. Nous ne sommes pas cette agitation, cette “houle”. Nous sommes l’océan.
Avons-nous cette reconnaissance ?
Denis Marie est l’auteur du livre “L’éveil ordinaire, le don du cœur”, publié en 2007. Depuis sa réalisation, au lendemain d’une greffe rénale, il témoigne d’un regard nouveau au sujet de l’éveil et la recherche spirituelle. Il appelle à identifier la Présence originelle et spontanée, afin de déjouer le jeu de la pensée conceptuelle. Tel un rêve, toute notre illusion est vide. Nous n’avons jamais quitté la Vérité ! Aussi, aucun réel “chemin” n’existe pour la retrouver. page Denis Marie →
L’une des rares pratiques intéressantes, qui ne favorise pas notre personnage, c’est l’abandon. C’est simple et cela…
Heureux celui qui a l’amour en lui et qui le porte haut dans le ciel de son…
C’est à partir de notre abandon, de la libération qu’il provoque, que la contemplation prend place en…
Sous l’emprise de l’illusion et de la dualité, nous ne savons que “saisir”. Notre vie entière dans…
Parce que nous n’avons pas identifié et accepté notre Nature originelle, nous croyons qu’il nous faut la…
Se reconnaître en la clarté immuable, inaltérable. Si nous pensons qu’il y a une Vérité, un absolu,…
