Vérité salvatrice
C’est “par” et “dans” la vérité que notre conscience s’apaise effectivement. C’est dans son éclairage qu’elle se trouve débarrassée du mal-être que provoquent la culpabilité et le remords.
Aucun état ne peut apporter la sérénité véritable. Ils ne représentent que des pansements sur une jambe de bois. Ils ne sont que des stratagèmes mensongers de l’illusion.
Si la vérité ne nous libère pas de “tous les états”, elle n’est en rien salvatrice et absolue. Se contenter de “sensation”, d’un “confort fabriqué” et passager, voilà l’objectif compensatoire et trompeur que nous vend l’illusion.